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«Après la colère, nous parlons, je m’efforce d’aider mon enfant à mettre des mots sur les émotions qu’il a éprouvées, je lui demande ce qu’il ressent, s’il est triste, en colère, énervé (…), pour qu’une prochaine fois, il s’exprime par des mots.» Delphine, 3 enfants
Essayer de décoder le message qui se cache derrière
Les colères ne sont en général pas gratuites. Bien entendu, elles se déroulent après une grosse fatigue ou suite à des frustrations… Mais l’élément déclencheur n’en est pas forcément la cause intrinsèque. Il est important de prendre le temps de comprendre ce que l’enfant veut nous dire.
Quand notre enfant fait plus de colères ou des colères plus violentes que d’habitude, on peut se demander ce qui a changé dans notre vie (déménagement, problème au travail, tension entre conjoints, arrivée d’un nouveau bébé dans la famille…). Même s’il s’agit de sujets dont vous ne parlez pas ouvertement devant votre enfant, il peut sentir qu’il se passe quelque chose.
Une fois que le calme est revenu, pourquoi ne pas prendre le temps d’en parler ensemble. Sans dramatiser la situation, ni diaboliser l’enfant. C’est à ce moment là, calmement, que l’enfant peut expliquer l’objet de sa colère, et que le parent peut l’aider à s’y retrouver et réfléchir à quoi faire pour éviter de se retrouver une nouvelle fois dépassé par ses émotions.