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Les relations entre frères et sœurs préoccupent beaucoup de familles. Nous les avons souvent vécues nous-mêmes et elles nous ont laissés de bons et de moins bons souvenirs. En fonction de nos propres expériences, nous souhaitons avoir des enfants rapprochés en espérant qu’ils seront complices et compagnons de jeux ou au contraire laisser un écart plus ou moins important pour éviter les conflits ou attendre que le ou les premiers soient autonomes. Finalement y a-t -il une règle ? La place dans la famille a-t-elle une influence sur le caractère de l’enfant ? Et induit-elle un comportement ?
Sur ce sujet nous vous proposons de partager les réflexions d’un groupe de travail de 24 personnes recueillies à Sunnyvale (Californie, USA) en novembre 2002 dans le cadre d’un cour de « parenting ».
Trois groupes ont été formés en fonction de la place que l’adulte occupait dans sa famille quand il était enfant : premier, “au milieu” , dernier. Sachant que “au milieu” regroupait tous ceux qui ont un ou plusieurs frère (s) et soeur (s) plus âgés et moins âgés. Pour les familles de deux enfants, le deuxième était considéré comme le dernier.